En février dernier lors de la Japan Expo Sud, l’AFJ a tenu un stand pour la cause de Yuriage. Des visiteurs de la Japan Expo ont pu donc faire des dessins de soutien pour le quartier autonome sinistré par le Tsunami en 2011. En 3 jours 226 dessins ont été recueillis et ont tous été envoyé à l’association de touristique de Natori (association japonaise). Tout le monde était ravi et surpris qu’autant de personnes se sentent concernées.
En octobre 2015, une fête a eu lieu au Ruban Vert. Le célèbre chef Syunku Nagi et son équipe ont fait déguster aux convives de délicieux sushis et sashimis préparés dans la cuisine de la Présidente !
Qui en veut ? Moi je ne dis pas non !
Le chef Syunku Nagi de Kagoshima découpe le poisson.
Le 20 juin 2015 a eu lieu à Puyricard la fête du Japon. A cette occasion, l’AFJ avait organisé des ateliers d’origami tenus par Claude Martin et la cérémonie du thé dirigée par Makiko Matalon et Brigitte Charrac. Un événement orchestré par la joie et la bonne humeur !
La fête du cheval « Chagu Chagu Umako » à Puyricard
Les 13 et 14 juin dernier, a été célébré à Puyricard, la fête du cheval le « Chagu Chagu Umako ». Cette fête japonaise a été organisée pour la première fois il y a 200 ans, pour remercier les chevaux d’avoir travaillé si dur lors de la plantation du riz. Petit à petit, c’est devenu un moment à part entière des festivités célébrant la fin du repiquage du riz, période très fatigante pour les hommes comme pour les chevaux. Depuis très longtemps, la préfecture de Iwate est connue pour l’élevage des chevaux. Ceux-ci sont tellement considérés par les habitants qu’aujourd’hui encore, certaines personnes partagent leur maison avec leur cheval.
Lors de cette même journée, plusieurs activités et des démonstrations ont pu être effectuées : du Kyudo, des arts martiaux, de l’ikebana (art floral), de la calligraphie …
L’ikebana a été importé au Japon il y a treize siècles de la Chine avec le Bouddhisme. Cette tradition basée sur la composition florale est également connue sous le nom de kadō (華道/花道) qui veut dire » la voie des fleurs » ou « l’art de faire vivre les fleurs ». Contrairement à la technique décorative occidentale qui consiste à faire ressortir la beauté avec une grande quantité de fleurs, l’ikebana crée une harmonie linéaire de l’arrangement et l’harmonie entre le vase, la fleur, les tiges, les feuilles et sont ainsi valorisés. Les styles Rikka / Tachibana (sophistiqué et considéré pour les cérémonies et les fêtes) et Moribana (qui est plus libre) sont précursés par le prêtre Senmu qui fut le premier à codifier l’ikebana.
Le 6 juin 2015, le Consul du Japon a organisé à la mairie d’Aix un atlier d’Ikebana.
Noriko SHIROTA : la pâtissière japonaise de Puyricard !
Cocorico, les meilleurs boulangers-pâtissiers sont français ! Et bien non ! Noriko Shirota est Japonaise, et a été formée au Japon. Elle a aujourd’hui sa propre boulangerie-pâtisserie, en plein coeur de Puyricard, qui ne désemplit à aucune heure.
Venez déguster ses spécialités que les Provençaux raffolent : le tiramisu au thé vert, les macarons maison, le puy d’amour…
Avec 80 000 membres répartis dans vingt-deux clans, les yakuzas constituent la première société criminelle au monde. Le documentaire d’Alexander Detig, en recueillant le témoignage de parrains et de leurs gardes du corps, d’enfants de yakuzas et de repentis, de victimes et de citoyens qui résistent à leur influence, dresse un tableau très complet de ce milieu auquel les caméras ont rarement accès. Trafic de drogues, cecles de jeux, bordels et rackets y constituent les sources de revenus principales. Mais les yakuzas sont également fort bien intégrés dans le tissu social japonais, comme le montrent les liens étroits qu’ils entretiennent avec la police. Ils s’enorgueillissent par ailleurs d’être les héritiers des samouraïs et cultivent des traditions séculaires comme le culte des ancêtres, la calligraphie ou l’enseignement bouddhiste, à l’instar de ce chef de gang qui réfléchit avec son maître spirituel à devenir moine. Pour autant, ce raffinement revendiqué n’est pas incompatible avec des relations marquées par une extrême violence : les traditions sanglantes, comme l’ablation d’une phalange, sont bien vivaces et les clans se livrent des guerres impitoyables. Les tatouages qui recouvrent littéralement le corps des plus aguerris témoignent de l’engagement total exigé de ceux qui rejoignent le milieu. Quel est l’avenir des yakuzas? Resteront-ils une « honorable société », agissant au grand jour ? Ou la société japonaise les rejettera-t-elle dans l’illégalité, au risque de les radicaliser ?
(Allemagne, 2012, 88mn)
Date de première diffusion :Mar., 26 févr. 2013, 20h53
Date(s) de rediffusion :Mercredi, 6 mars 2013, 00h50
Vendredi, 15 mars 2013, 09h55